La réunion présidée ce jour par le Pr TEWA Jean Jules, a débuté sur le suivi des activités concernant le développement de la plateforme de l’Observatoire régional de manière générale, mais plus spécifiquement sur les aspects liés à la note de cadrage pour sa validation.
Les échanges ont principalement tourné autour des observations formulées sur cette deuxième mouture reçue de la note de cadrage. Il ressort de ses échanges les observations suivantes :

– Retirer la liste des indicateurs contenue dans le document et la mettre en annexe ;
– Spécifier le mode de formation proposé par le cabinet lors de la rétrocession de la plateforme ;
– Mettre les risques sous formes de tableau (Risque, moyen de mitigation et acteurs) en p.18 au 2.1;
– Mettre une cohérence entre l’argumentaire de fin de cette page 5 avec celui du début de la page 7 ;
– Mettre le métier de l’apprenant en p.42 ;
– Enlever Camerounais et mettre « … des points focaux de parties prenantes » en p.22;
– Ajouter comme acteurs « l’équipe d’exploitation de la plateforme » au 7.9 de la p.33 ;
– Préciser qu’en cas d’indisponibilité d’un expert principal sera proposé un autre au profil identique suivant la procédure de remplacement ;
– Supprimer officiel à Statistique officiel au 4.2 ;
– Préciser la cohérence des profils ; Expert en développement ou Expert en développement web, Web designer ;
– Préciser l’équipe de support client, l’équipe en sécurité
– Préciser le mode formation.
Le cabinet souligne néanmoins un accompagnement du projet sur une période d’un an pour une assistance, au-delà de cette période un contrat de maintenance pourra être signé à la demande du projet.
Par ailleurs, toujours selon le cabinet AfreeTech, il revient à l’UGP de créer l’équipe projet qui interagira avec l’équipe de travail du cabinet.
Répondant à la préoccupation sur le mode de formation, le cabinet assure n’avoir pas prévu de déplacement à l’extérieur du pays, mais offre deux types de formation, en présentiel au Cameroun ou en ligne.

Le suivi des activités des lots 1 & 2 a consisté au check-in des questionnaires reçus après les ateliers régionaux de Douala.
En gros, il n’y a pas de changement au niveau des questionnaires par rapport aux ateliers régionaux.
Les questionnaires au Congo restent sans changement, selon Dr TAGOUDJEU, des relances ont été faites mais la tenue des formations dans ce pays peut être à l’origine de ce statu quo.
Pour le lot 1, M. NEPEPSOUN rassure que le questionnaire Q6 aura des réponses au travers du document reçu pendant la séance de travail aux ateliers. Pour le lot 2, le questionnaire Q4 reçu de l’ASPIN est rempli avec légèreté, pour les questionnaires Q3 et Q8, les informations reçues sont non pertinentes.
En RCA, selon M. CHEMBOU le groupe de travail de ce pays est en train de travailler sur les questionnaires au moment où nous tenons notre réunion.
Quant au Tchad, tous les questionnaires sont disponibles et des observations ont été reçues pour le lot 1 et sont en attente pour le lot 2.
Le président de séance souligne qu’au 10 mars les rapports diagnostics doivent être disponibles et toute information reçue au-delà d’aujourd’hui sera considérée comme émanant du groupe de travail.

Le calendrier des échéances pour permettre la tenue des travaux pour fin avril est contenu dans la section du suivi de la mise en œuvre des activités et des recommandations du projet.
En guise de fin, l’expert principal du lot 2 suggère que la réaction des experts techniques d’accompagnement de l’UGP doit parvenir sous 3 jours aux experts du cabinet DBS. Néanmoins, le Président de séance réitère que lesdits rapports sont envoyés en l’état au groupe de travail.

La suite de la réunion a consisté au suivi de la mise en oeuvre des recommandations.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

treize + 18 =

Aller au contenu principal