La réunion a débuté ce jour par le suivi des activités liées aux lots 1 & 2, dont le cabinet DBS à la charge de la mise en œuvre. Cette séance a commencé par des échanges avec les experts du cabinet DBS en présence de leur Directeur Général. Le président de séance a tenu tout d’abord à clarifier la nécessité des données du Gabon et de la RDC au plus tard pour la fin du mois de mai, d’où l’urgence d’aller dans ces pays valider lesdites données.

Pour ce qui est du Congo brazza, les activités avancent bon train et d’après les experts du cabinet DBS, l’équipe pays du Congo et le cabinet ont arrêté la date du 22 mai pour la descente du cabinet dans leur pays et celui-ci planifie poursuivre leur descente en RDC juste après la descente au Congo.

Par ailleurs, selon les experts du cabinet, le fichier envoyé par le sectoriel de la RDC n’est pas assez consistant en termes d’informations, ce qui ne permet pas de collecter les données. Néanmoins, un groupe WhatsApp a été créé pour permettre une meilleure compréhension et appropriation desdits questionnaires par les uns et les autres. Ce qui permettra d’avoir un état d’avancement de la collecte afin de pouvoir déverrouiller les blocus.

Au niveau du Gabon, d’après le sectoriel de ce pays, ils ont fait des réunions et souhaitent avoir les frais de sessions sans quoi, ils ne pourront plus siéger car les membres du groupe de travail sont mobilisés et remplissent les fichiers.

D’autre part, les activités en RCA et au Tchad n’ont toujours pas avancé, l’UGP se propose de refaire des mails pour débloquer la situation. Au Tchad, l’UGP se tournera vers la DUE en demandant la possibilité d’une audience avec le Ministre chargé des TIC.

En guise de fin des échanges avec le cabinet, l’UGP propose une autre séance de travail lundi prochain afin de pouvoir résoudre ce souci de collecte des données.
Parallèlement à la réunion hebdomadaire de ce jour, le prestataire chargé de la fourniture des articles de communication et de visibilité à savoir l’Ets GOLDEN & Co, livrait l’ensemble du marché sous la supervision de l’Expert junior N°2.

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