Réunion de coordination du 22 juillet 2024
La réunion présidée ce jour par le Pr TEWA Jean Jules, a connu la visite de l’une des tutelles techniques du projet, à savoir Mesdames ZAMBO et MWANACK de la CAON. Celle-ci a débuté par des échanges sur la formation à venir des différents représentants de l’ARTAC qui pourront être à même de mettre à jour les informations de leur pays sur la plateforme de l’Observatoire régional des TIC et s’occuper des aspects d’actualisation des données pour les documents sur la cartographie des besoins et des documents cadres de référence.
En prélude à cela et pour permettre d’optimiser leur présence dans les prochains jours à Douala, il est question de profiter de leur présence pour signer des contrats pour lesdites actualisations. Pour ce faire, il faut au préalable rédiger et valider les TdR des activités qui seront les leurs.
Ensuite, il a été question du développement du capital humain avec la formation en planification des infrastructures TIC qui a débuté ce jour à Bangui en RCA. La cérémonie de lancement a connu la présence du Ministre des Télécommunications de la RCA qui est venu personnellement lancer les formations dans son pays.
Enfin, les échanges avec mesdames ZAMBO et NWANACK ont permis d’aborder plusieurs sujets en suspens mais aussi de répondre à leurs différentes préoccupations soulevées à leur niveau mais aussi au niveau de l’Union Européenne. Les aspects liés à la préparation du COPIL, la constitution et la nature des membres ont été passées en revue.
S’agissant de la plateforme de l’Observatoire, l’expert principal du cabinet AfreeTech est venu faire une présentation de la version actualisée de la plateforme de l’Observatoire. Des observations et des réclamations ont été faites séance tenante au fur et à mesure de la présentation.
Comme réclamations de la part du cabinet, nous pouvons dire :
– Un contact d’un responsable ;
Puis comme observations, nous notons :
– Ne faire figurer que les activités du projet en droite ligne avec les Observatoires ;
– Retirer le logo qui représente l’ARTAC car ce n’est pas celui de ladite entité ;
Puis des échanges ont permis d’éclaircir les incompréhensions des uns et des autres sur l’état actuel de la plateforme, question de s’assurer que les besoins de chaque partie soient satisfaits.
La suite de la réunion a consisté au suivi de la mise en oeuvre des recommandations.